Style : manhua pour un public féminin (spécialement pour les grosses quiches).
Titre chinois :
Titre français : Jenni
Auteur : Jennifer Li (scénario), Feng Mu Chun (dessin)
Éditeur Chine : Beijing Total Vision
Éditeur France : Xiao Pan
Année d’édition Chine : ?
Année d’édition France : 2006
Nombre de tomes : one-shot (encore heureux !)
Résumé : Jenni, une jeune chinoise, part à Londres pour y faire ses études.
Commentaire : oh my god ! Il paraît que l’histoire est adapté de la vie de l’auteur…
Ça pourrait être bien Jenni mais ça l’est pas. C’est tout ce que déteste et en plus c’est incohérent et il y a une pauvre fin bidon. Le genre de truc ou Dod jette ce qu’elle a sous la main sur la télé. « Je ne t’oublierais jamais, même quand je serais grand-mère » : Jenni c’est ça à la fin. Elle est toute contente parce qu’elle a passé 1 an à être amoureuse d’un type qui l’aime aussi et après elle part aux Etats-Unis et elle lui dit qu’elle l’oublieras jamais. Le truc qui énerve pas déjà. Genre : « allez salut mec, c’était bien sympa ! ». Mais quelle connasse ! Elle a fait chier tout le monde pendant 1 an pour un gars qui n’est en fait même pas l’homme de sa vie ! Ils se sont vaguement fait un petit bisou et puis c’est fini. Trop nul. Je déteste ce genre de fin qui va à l’encontre de mon romantisme pro Jane Austen. C’est démoralisant (enfin pas pour moi parce que je l’ai trouvé l’homme de ma vie).
Et puis le scénario est trop nul. Genre : ma copine de chambrée rêve d’être comme sa mère et sa grand-mère avant elle, la reine des roses le jour de la St Valentin (celle qui en reçoit le plus). Je le sais, je sais que c’est très important pour elle mais au moment où je lui pique la place sous le nez et ben j’y pense plus. Je souris et je suis contente et je ne pense pas à ma copine qui doit être dans le 36ème dessous. Pétasse, tu mérites la mort dans d’atroces souffrances. Ou alors de devenir grosse et moche avec des cheveux gras et tout et tout. Et le pire c’est que la meuf on la retrouve quelques pages plus tard et elle dit qu’elle ne lui en veut pas (mais la Jenni ne s’est pas excusé pour autant. Genre : « qui me parle ? »).
Non vraiment c’est naze, il y a même pas de but. Le seul truc c’était qu’elle se mette avec le gars mais au final ils sont ensemble 2 heures et enfermés dans le théâtre et qu’est-ce qu’ils font ? Joujou avec les décors. Il y a quand même d’autres trucs à faire avec le mec qu’on aime quand on est tous seuls dans un endroit la nuit…
Ah j’oubliais, le mec, la copine aussi elle en était amoureuse mais là encore la Jenni elle s’en fout et la copine aussi en fait. Quel intérêt à l’histoire alors ? Aucun semble-t-il. Juste celui de m’énerver.