Diane SETTERFIELD, Le treizième conte, éditions de Noyelle, Paris, 2007, premières éditions françaises Plon, Paris, 2007, éditions originales Orion House, Londres, 2006.
roman anglophone traduit par Claude et Jean Demanuelli, publication française brochée, 15,5x24 cm, 391 pages.
Margaret Lea vit parmi les livres anciens de la librairie de son père. Jour après jour, lisant et relisant, sortant chaque ouvrage de sa solitude.
Mais, un jour, une lettre vient bouleverser ses lectures, une lettre bien étrange de Vida Winter, une écrivaine célèbre qui lui demande d'écrire sa biographie : étrange par l'écriture presque enfantine où chaque lettre semble avoir été tracée avec une ferveur à chaque fois renouvelée, étrange par la requête de Vida Winter qui ressemble plus à une supplication qu'à une simple demande. Margaret reste dubitative, elle qui n'a jamais lu d'auteurs contemporains et encore moins Vida Winter à laquelle son père voue une certaine admiration. Après quelques recherches vaines et de lectures assidue, Margaret se rend finalement dans le Yorkshire pour découvrir la véritable histoire de Vida Winter, enfin tout d'abord une histoire de fantôme qui amènera Margaret à réfléchir sur sa propre histoire.
Le treizième conte est une histoire fascinante qui raconte l'histoire d'un frère et d'une soeur, puis de deux jumelles et d'un fantôme... Si ce treizième conte, car c'est de lui qu'il s'agit, mais nous l'apprendrons qu'au dénouement a bien commencé, il se termine dans le néant... Quelques pistes pouvant nous amener à réfléchir mais elles sont bien rares... La fin, pour ma part, n'est pas à l'ambition du livre...